Raphaël pratique le badminton de façon occasionnelle lorsqu’il est étudiant. Durant cette période, on lui propose un « petit » contrat de journaliste chez France Badminton. Il fait ses premières expériences et crée ses premiers liens avec Amnesty International en tant qu’objecteur de conscience. C’est avec cette organisation qu’il réalisera quelques années plus tard un reportage sur les « couloirs de la mort » aux États-Unis. À cette occasion, il découvre par hasard, et pour la première fois, le badminton de haut-niveau en compétition.
En effet, après être descendu au mauvais arrêt de bus en rentrant de l’une de ses missions, notre jeune journaliste tombe sur l’US Open de Badminton. Curieux, il décide de s’y rendre et réalise que la presse est totalement absente de l’événement. Dans la foulée, il prend l’initiative de contacter la Fédération Internationale afin de leur proposer un article sur le tournoi, accompagné de photos. Cette dernière, étant en pleine construction de leur site internet, a besoin de contenus. Elle est séduite par la proposition.
C’est ainsi que Raphaël fait ses débuts de journaliste à la BWF et que naît l’entreprise Badmintonphoto. Aujourd’hui, l’entreprise est présente sur l’ensemble des grandes compétitions internationales. Elle est une référence dans le monde du badminton.